Comme le mois d’avril est réduit, il n’y aura qu’une phrase à traduire.
La voici :
Ménandre, La double tromperie
Ὅν οἱ θεοὶ φιλοῦσιν ἀποθνήσκει νέος.
C’est devenu une maxime assez connue.
L’intérêt du travail est de chercher une traduction poétique, si possible rythmée, qui rende compte de l’aspect à la fois sentencieux et tragique de l’énoncé.
Un petit commentaire littéraire de quelques lignes sera le bienvenu.
Phrase à traduire avant le jeudi soir soir 14 avril.
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